Poèmes , poesie d'amour et phrase d'amour pour la saint valentin

Poèmes , poesie d'amour et phrase d'amour pour la saint valentin : C'est bientôt la fête des amoureux st valentin , des poèsies d'amour romantiques gratuites composées par les mots d'amour doux. des poèmes ou des cartes de voeux de Saint-Valentin en utilisant

match retour des barrages de Coupe du Monde entre le Cameroun et laTunisie

La télévision nationale indique dans ce sens qu'elle a tout fait auprès de la chaîne détentrice des droits de cette rencontre pour la retransmettre au moins sur le réseau terrestre, mais sans réussite.

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Jennifer Lopez à la Cérémonie d’ouverture de Morocco Mall Casablanca

L’actrice américaine Jennifer Lopez participera à la cérémonie d’ouverture du grand centre commerciale Morocco Mall, prévue pour la 5 décembre 2011, situé en bord de mer, ce projet  a nécessité un investissement de 2 milliards de Dhs, il ambitionne de révolutionner le paysage du commerce moderne au Maroc grâce notamment à la concentration d’innombrables enseignes – 300 enseignes – opérant dans tous types d’activités. Grâce à sa situation privilégiée, ses offres diverses et variées et ses attractions exceptionnelles , le Morocco Mall prévoit d’accueillir 15 millions de visites par an avec un chiffre d’affaires de 5 milliards de dirhams. Il est le fruit d’un partenariat entre le groupe Aksal et le groupe Al Jedaie. Le centre fournit 21 mille emplois directs et 5 mille autres indirects.

30 novembre 2011 dans à la une, annonce, maroc

Benkirane chef du gouvernement

Nommé hier par le roi Mohammed VI, le nouveau Premier ministre marocain, Abdelilah Benkirane, 57 ans, est un islamiste modéré qui a choisi très tôt de coopérer avec la monarchie, et cette stratégie a permis à son parti d'accéder au pouvoir. Portrait.
Sarozy doit occupé de ses affaires hahahaha bien dit Benkiran Ardugan du Maroc


Né dans le quartier populaire d'Al-Akkari à Rabat, M. Benkirane a rejoint très tôt la Jeunesse socialiste de l'Union nationale des forces populaires, fondé en 1959 par Mehdi Ben Barka. Diplômé de l'École nationale supérieure pour l'enseignement scolaire, il a fondé une école privée qu'il gère toujours.
Son destin politique prend un tournant décisif en 1976, lorsqu'il est confronté à des pratiques que l'islam réprouve. « Un jour, raconte une de ses vieilles connaissances, il rentre dans une maison où il y avait beaucoup de jeunes socialistes, pour la plupart athées. C'était en plein mois de ramadan et il était très choqué de voir ce groupe de militants en train de manger et boire ».

Il a alors 22 ans et il quitte les socialistes. Il rejoint la Jeunesse islamique. Il sera rapidement arrêté et condamné à deux ans de prison.
Après sa libération en 1978, M. Benkirane décide d'opérer une « rupture » et d'agir dans la légalité.
Il fonde en 1981 la Jamâa Islamiya, une association politique reconnaissant le statut religieux de la monarchie. Ses anciens camarades le traitent alors « d'agent du Makhzen » (le palais).
À la fin des années 80, il fait partie d'un groupe de 400 militants voulant former un parti islamiste « modéré » légal.
Ils commencent par rompre avec l'idéologie islamiste révolutionnaire, et condamnent fermement tout recours à la violence en reconnaissant, une nouvelle fois, le statut religieux de la monarchie.
Mais les autorités leur refusent l'autorisation de former un parti.
En 1997, ils décident d'intégrer un petit parti fondé et dirigé par un proche du Palais, le MPDC, qui participe, la même année, aux législatives et obtient neuf députés parmi lesquels M. Benkirane. Un an plus tard, le MPDC devient le PJD et en juillet 2008, M. Benkirane devient secrétaire général.
Il est décrit parfois comme un homme politique qui « a du mal à se contrôler, et à mesurer ses propos », selon un dirigeant du parti. Mais il a récemment multiplié les déclarations « rassurantes » : « Nous n'imposerons jamais la charia (la loi musulmane) », a-t-il notamment affirmé.w

Abdelilah Benkirane, premier ministre marocain (Portrait)


Abdelilah Benkirane, premier ministre marocain (Portrait)
Bien avant qu'il ne soit reçu par le Roi Mohammed VI pour lui confier la lourde tâche de former un gouvernement en application des principes de la nouvelle constitution, les portraits de Abdelilah Benkirane pullulent dans la presse nationale et internationale. Tous retracent, avec des détails qu'adorent les biographes, l'ascension de ce militant de gauche déçu par le manque de religiosité de ses pairs et qui très tôt, s'était lancé dans la création d'associations politiques islamistes. Tous aussi soulignent son flair précoce d'avoir misé sur le travail politique légal, au sein des institutions, quand d'autres avait fait des choix de ruptures et donc de la clandestinité et de l'auto exclusion. Abdelilah Benkirane avait attiré l'attention des observateurs par deux segments particuliers. Le premier, son opposition solide à la violence comme expression politique. Le second, son attachement viscéral à la monarchie. Son parti, le PJD, lui sera toujours redevable de lui avoir fourni une nette victoire lors des élections législatives et donc la possibilité de conduire un gouvernement. 

C'est donc cet homme auréolé par cette performance qui a été reçu à Midelt par Le roi Mohamed VI. En. Costume cravate, un macaron de la semaine de la solidarité visible sur la poitrine, Abdelilah Benkirane recevait sa mission de former le premier gouvernement issu de cette victoire électorale. Il sera le premier ministre marocain islamiste dans l'histoire politique du pays. Cette situation inédite suffit à elle même pour susciter l'enthousiasme de la communauté internationale, laquelle dans une belle unanimité, a applaudi cette exception marocaine qui consiste à laisser parler librement les urnes et la volonté populaire et en accepter sereinement le verdict. 

Dès sa nomination comme premier ministre, Abdelilah Benkirane a commencé ses consultations pour former une coalition parlementaire qui lui servira d'assise et de rampe de lancement à son action gouvernementale. Le PAM, créé par Fouad Ali AL Himma et le RNI mené par Salaheddine Mezouar, ayant fait savoir dès l'annonce des résultats du scrutin du 25 novembre qu'ils inscrivaient leurs actions futures dans l'opposition, il ne restait au PJD et à Abdelilah Benkirane que le parti de l'Istiqlal, l'USFP, et le PPS pour former cette coalition. si L'Istiqlal dont est issu le premier ministre sortant Abbas El Fassi avait sur le champs annoncé sa disponibilité à tenir le gouvernail du prochain exécutif avec le PJD, l'union socialistes des forces populaires, grand perdant de ces élections, se tâte encore, traversé par de violents courants contradictoires entre ceux qui veulent se maintenir au gouvernement et ceux qui estiment que le temps est venu pour que le parti de Feu Abderrahim Bouâbid face une cure d'opposition. 

Les observateurs attribuent ces tensions et autres déchirements au sien de l'USFP à ce que le numéro UN du PJD avait fait savoir, par souci de nouveauté et de renouvellement de la classe politique marocaine qu'il ne prendrait pas d'ex-ministres dans son nouveau gouvernement. Ce qui équivaut à renvoyer à une retraite anticipée les icônes de la gauche gouvernementale qui avait géré les affaires du pays ces dernières années. D'autres attribuent ces humeurs à des manœuvres politiques qui entourent toute négociation. 

La seconde hypothèse, aussi séduisante sur le papier que politiquement cohérente, mais sans doute difficile à réaliser, est que le PJD parvienne à former une coalition avec l'Istiqlal, le Mouvement populaire et l'Union constitutionnelle. Cette construction mettrait la sensibilité conservatrice au pouvoir et la gauche et les libéraux du PAM et du RNI dans l'opposition. Elle aura l'avantage de clarifier les lignes de démarcation d'un champ politique toujours à la recherche de marqueurs et de repères. 

Et pendant qu’Abdelilah Benkirane consulte pour former sa coalition, de nombreuses interrogations courent les cénacles politiques de la capitale. Le PJD a-t-il suffisamment de compétences pour gérer des ministères aussi sensibles que pointus? Quels profils pour des ministères jadis connus sous le vocable de ministères de souveraineté comme l'intérieur, les Affaires étrangères, la Justice ou les Affaires religieuses? 

Si Abdelilah Benkirane a été un bon communicateur qui avait réussi à vendre efficacement son parti et un bon manager d'hommes qui lui a procuré sa première victoire électorale, il a aujourd’hui plus besoin d’ un savoir-faire subtil et un art de la négociation affiné pour parvenir à doser son appareil gouvernemental de manière à conjuguer crédibilité et efficacité. Il paraît clair en tout cas que les thématiques et autres chantiers privilégiées le PJD comme la santé ou l'éducation ou la justice se mesureront forcément par l'importance des profils choisis pour les gérer. 

Mardi 29 Novembre 2011 - 19:50

Mustapha Tossa

KAC KENITRA vs Wac WYDAD de CASA sur ARRIADIA TV

KAC de KENITRA vs WYDAD de CASA sur ARRIADIA TV

un trés grand comme je l'appel moi c'est un derbu a part celui de Casa, tous les autres matchs raja kac et wydad kac sont des matchs a la hauteur des attends des supporters des 2 équipes, on effet vous pouvez voir ce match en direct sur votre chaine TV Arriadia 
le match de KAC de KENITRA vs WYDAD de CASA sera diffusé dans ARRIADIA TV  nationale GNFE1 est de retour en , puisque Arriadia retransmettra en direct la rencontre qui opposera le Wydad au KAC de Kénitra et ce dimanche à partir de 15h.
qui sera le gagnat ça ce qu'on attend de ce match acharné .
KAC vs ASS
BOUTOLA

PJD Vainqueur des elections de 25 Novembre رويترز: العدالة والتنمية يُعلن فوزه بانتخابات 25 نونبر

Urgent : Le parti de justice et développement islamiste a gagné les élections.

Le PJD déclaré vainqueur des élections 2011 - Urgent : Le parti de justice et développement islamiste a gagné les élections. France 24....

La participation à l’élection de 395 députés à la première chambre du parlement marocain a atteint 45% à la fermeture des bureaux de vote à 19H00 GMT, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Taib Cherkaoui.
Ce taux est nettement plus élevé par rapport aux législatives de 2007, où il avait atteint 37% seulement.
Il s’agit des « premières estimations », a précisé M. Cherkaoui au cours d’une conférence de presse, ajoutant que le « scrutin s’est déroulé dans un contexte normal, et un climat de mobilisation et de responsabilité ».
Le ministre de la Communication Khalid Naciri a pour sa part déclaré que la « compétition électorale était ardue (…) Le processus de maturation démocratique est véritablement enclenché ».
« Les pouoirs publics ont tout fait pour que ce scrutin soit un moment démocratique sain et transparent », a-t-il poursuivi après l’annonce du taux de participation.
Quelque 13,5 millions de Marocains étaient appelés à élire 395 députés du parlement, un scrutin avec pour enjeu une possible percée du parti Justice et développement (PJD, islamiste modéré), principal parti de l’opposition parlementaire.
M. Cherkaoui a également annoncé que les résultats définitifs des 31 partis politiques participant à ces législatives ne pouvaient être connus que dimanche après-midi.
La participation était de 34% deux heures avant la clôture du scrutin, selon le ministère de l’Intérieur, un taux bien plus élevé que les 21,8% atteints à la même heure aux législatives de 2007, marquées par un fort abstentionnisme.
S’inscrivant dans le mouvement du printemps arabe, cette consultation électorale intervient juste après celle de la Tunisie, et avant l’Egypte, deux pays où l’islam politique a le vent en poupe, à l’instar de la Turquie.
Le PJD d’Abdellah Benkirane, qui a toujours été dans l’opposition (47 députés sur 395 dans l’assemblée sortante), table sur un succès semblable au parti islamiste Ennahda, en Tunisie, fin octobre.
Ses deux principaux adversaires sont deux partis aguerris, membres de la coalition gouvernementale: l’Istiqlal (Indépendance) du Premier ministre Abbas El Fassi et le Rassemblement national des indépendants (RNI, libéral), dont le secrétaire général est l’actuel ministre des Finances Salaheddine Mezouar.
Ces législatives ont été boycottées par trois partis de gauche, ainsi que par le Mouvement du 20 février, qui réclame des réformes constitutionnelles profondes et une limitation des pouvoirs de la monarchie.
Selon eux, la nouvelle Constitution, adoptée massivement par référendum en juillet, n’avait « pas répondu » à leurs attentes démocratiques.
Le scrutin de vendredi a eu lieu cinq mois après l’adoption d’une révision constitutionnelle qui a renforcé les pouvoirs du parlement et du Premier ministre, tout en préservant la prééminence politique et religieuse du roi Mohammed VI.